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Je le dis tout de suite afin d’ôter toute forme de suspense : cette veste Icebreaker Merinoloft Helix est une tuerie!

Icebreaker Merinolotf Helix : une seconde couche en mérinos

Vous le savez si vous venez ici de temps à autre, j’apprécie particulièrement la laine mérinos, et la marque néo-zélandaise Icebreaker, qui s’en est fait une spécialité.
En effet, cette laine à des propriétés d’isolation très importantes, isolant du froid mais aussi du chaud. Et surtout, anti bactérienne, et de ce fait vos affaires restent propre longtemps et ne sentiront pas mauvais si vous transpirez dedans, c’est l’idéal pour les voyages par exemple.
Enfin, c’est une matière très agréable à porter, douce et confortable. Je connaissais principalement les sous-vêtements de running, ou les t-shirts et polo que j’utilise été comme hiver (différents grammages existent en fonction de la saison).

J’ai reçu de leur part une veste mi-saison ou pouvant être utilisée en seconde couche. Elle peut être portée en tant que veste lorsque le temps n’est pas trop froid (entre 5 et 15°), ou en seconde couche quand il commence à faire bien froid sous une couche étanche pour l’hiver, la veste Helix en Merinoloft.
Existant en plusieurs couleurs, j’ai reçu la verte qui est (je trouve) la plus jolie.
L’intérieur et le garnissage de la veste est donc 100% mérinos (70g) alors que l’extérieur est en nylon, ce qui permet de protéger un minimum de la pluie.

Zoom sur Merinoloft:
Prix ISPO de la meilleure seconde couche en 2015, le mérinos en tant que seconde couche offre ainsi plus de solidité qu’un duvet traditionnel et une déperdition de chaleur moins importante. Anti-odeur, thermo-régulante, et séchant rapidement, les caractéristiques de la laine mérinos sont ici employées de la meilleure des manières, avec un encombrement faible, et l’avantage de rester chaud même humide.

Un confort vraiment agréable

Ce qui m’a marqué en premier lieu, c’est son confort. Elle est vraiment TRÈS agréable à porter, douce, souple. On ne la sent pas du tout, mais elle a un côté chaleureux vraiment très agréable. Les panneaux latéraux en tissus éponge sont extensibles sur les parties qui en ont besoin, et vous n’êtes ainsi pas limités dans vos mouvements, ce qui permet de l’utiliser dans toute les situations actives (ou non).

Un look urbain moderne

Ensuite son look, elle épouse le corps et comme vous n’êtes pas limité dans vos mouvements elle reste très seyante, pas grosse du tout, entre look urbain et moderne, pas sport du tout. Personnellement j’aime beaucoup, et si la verte a eu ma préférence, la grise/orange est aussi très belle (pourquoi ne pas tester d’ailleurs la grande soeur de cette veste, la Merinoloft Stratus LongSleeve qui est pour le coup bien plus chaude mais je trouve aussi très jolie).
D’ailleurs j’en profite pour parler du look des vêtements Icebreaker, que je trouve généralement très réussis. On est pas dans des produits techniques orientés sport, et c’est pratique pour le quotidien de pouvoir acheter et utiliser de différentes manières ses produits (car ils ne sont pas donnés).

Apport de chaleur idéal pour la mi-saison ou en seconde couche

Enfin, elle est relativement chaude. 70g de laine composent la garniture, ce qui reste léger mais suffisant entre 5 et 15 degrés. En dessous il est possible de rajouter un gilet en dessous (ou un t-shirt thermo régulateur) si par exemple c’est une veste que vous souhaitez utiliser au quotidien, car c’est pour ma part une utilisation urbaine que j’en ai. Lorsque le thermomètre descend, j’ai tendance à rajouter un t-shirt en mérinos 200g à manches longues. Où si vous souhaitez l’emmener aux sports d’hiver, la mettre sous une couche isolante et protectrice externe.
Enfin, pratique, les manches permettent de passer les pouces pour garder les mains au chaud, c’est agréable.

En conclusion, cette veste Icebreaker Merinoloft Helix est vraiment top : idéale en veste de mi-saison ou en seconde couche par temps plus froid, très très agréable à porter et confortable, c’est mon coup de coeur du moment. Je ne peux que vous inciter à vous la procurer, car l’essayer, c’est l’adopter !